Ce livre ne s’adresse qu’à… soirée de lancement au Port de tête (Montréal). Merci Berrand Laverdure!

Quelques mots extraits du Facebook de Betrand Laverdure à propos de ce beau moment :

« Je tiens à remercier toutes les personnes chaleureuses et joyeuses qui sont venues me saluer au lancement de mon dernier livre de poésie au Port de tête. Votre écoute et votre sympathie m’ont beaucoup touché. Revenir en librairie pour fêter le livre et la poésie, revoir des collègues poètes en mesures de distanciations toutes relatives a contribué à me rendre de bonne humeur et à recharger ma batterie à transcendance intérieure. Merci mille fois à Valérie Poulin, pour sa générosité musicale, ses chansons à la Joni Mitchell et le duo qu’elle a consenti à faire avec ma coloc merveilleuse, (elles ont chanté « J’ai demandé à la lune » d’Indochine) et avec moi (nous avons chanté « Tu t’en vas » d’Alain Barrière). Ta présence a ajouté un nuage duveteux à l’atmosphère de camaraderie générale et à la célébration de l’amitié littéraire. Merci encore à toutes et à tous ! Je vous aime ! (Merci Rico Michel pour les prises de vue inspirées et qui ont capté avec justesse l’air délicieux des rapprochements possibles et appréciables). Merci également à mon éditrice, Anne Peyrouse, qui a eu confiance en moi et m’a donné de judicieux conseils. Merci cher Gauthier Keyearts, destinataire d’une section de mon recueil et auteur de la photo de la couverture de mon livre. »

Que dire de plus?

 

 

VTGK « Des fois je fais l’assiette creuse » – Le grain des choses : thématique « So(i)ns ».

« Des fois je fais l’assiette creuse du duo VTGK »
« Lors d’une exploration urbaine (URBEX), dans un endroit à l’abandon, nous tombons sur un curieux objet, couvert d’inscriptions. Qui l’a laissé là ? À l’attention de qui ? C’est cette rencontre inattendue qu’à sa façon notre capsule raconte. Chères auditrices, chers auditeurs, l’insolite vous fait des fois dresser l’oreille ? Préparez-vous alors à une plongée intense. Mais méfiance : parfois on ne revient pas indemne d’un voyage. »

Bonne écoute!

 

https://legraindeschoses.org/fr/les-num%C3%A9ros/n%C2%B04-%C2%A0-so-i-ns.html?fbclid=IwAR3ewUfEORxjVcZWz2IaQdd5qbIEF5eKyy7vYC0S8JVL9gFu4u2xkU_z7XI

 

 

Ce livre ne s’adresse qu’à 0,00005% de la population…

Difficile parfois de commencer à raconter une histoire. Faut-il opter pour un « Il était une fois » ? Dégotter un pompeux « Au commencement était… », un sobre et populaire « tiens dis à propos »… Que choisir ?

Simplement que ce matin j’ai reçu un colis en carton, d’un volume plus que respectable, d’un poids mobilisant muscles et enthousiasme… ou plus simplement de susciter de la joie.

Surtout que le désir a été attisé par la douane, jamais en manque de kidnapping contre rançon.

Puis voilà, délicatement découper, pour ne pas abimer le contenu : des livres, beaux et transatlantiques.

Une sélection de merveilles effectuée par l’ami et frère Betrand Laverdure.

Première émoi : des découvertes. Le deuxième, enfin la possibilité de lire « La fille d’elle-même » de Gabrielle Boulianne-Tremblay (bise Gabie, et merci pour le gentil mot).

Et enfin, enfin, l’échange de cœur avec l’ami Bertrand, le très beau : « Ce livre ne s’adresse qu’à 0,00005% de la population ». J’aime ce titre, puis voir cette photo chargée d’histoire et de strates d’affection s’étaler de la première que quatrième de couverture, c’est « OUAH » ! De quoi se donner un peu de fierté à la place de la continuelle dépréciation. De quoi espérer continuer ce chemin de « l’œil sampler » et trouver de nouveaux girons pour les photographies.

« Ce livre ne s’adresse qu’à 0,00005% de la population »: la dernière de Bertrand Laverdure

Oui, aujourd’hui c’est une bonne journée.

 

Jack Keguenne… merci!

Un cadeau de Jack Keguenne publié sur Facebook le lendemain de mon anniversaire :

« Et, en beauté, tu me diras comment l’éternité se déroule, se dispense, s’épanouit. L’insolence de ses excuses, sa philosophie du tourment, son paysage tant long que la grammaire ne désigne d’autre trêve qu’un langage aggravé. Exercice d’intentions, habitat d’oublis, une étincelle immobile.

Mourir ne déploie pas toujours beaucoup d’accointances.
Rivages prolongés. A qui appartiennent les innocences ?
pour Gauthier Keyaerts et Jean-Marc Desgent »